A toute chose malheur est bon, dit-on. La calamité qui s’abat sur l’économie en général et sur l’horlogerie en particulier, oblige cette dernière à trouver des solutions dans le monde virtuel: après les boutiques, les musées et les salons se digitalisent également. Le coup d’arrêt a été brutal. Dès le 16 mars en Suisse, commerces et entreprises ont dû mettre la clé sous le paillasson, obéissant aux directives gouvernementales contre la propagation du coronavirus. Déjà impactées par la chute des ventes en Asie, les manufactures horlogères ont été contraintes de tirer la prise – littéralement – pour une durée indéterminée. Une première dans l’histoir . . . Abonnez-vous à la Gold'Or pour continuer
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