La distribution horlogère est en pleine mutation. La dernière Journée internationale du marketing horloger a mis le doigt sur les différents concepts de vente «direct-to-customer». Les solutions «phygitales» semblent s’imposer. Que l’on considère la grande consommation ou le domaine du luxe, la distribution subit depuis quelques années d’importants bouleversements. Mais la migration d’une partie des ventes vers des canaux virtuels ne doit pas faire oublier que la grande majorité du commerce se fait encore par le biais d’échoppes ayant pignon sur rue. C’est particulièrement vrai pour l’horlogerie: la dernière étude de Morgan Stanley intitulée «Swiss watches: . . . Abonnez-vous à la Gold'Or pour continuer
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