Le fondateur du motoriste Agenhor, Jean-Marc Wiederrecht, estime que la vague de verticalisations des années 2000 a considérablement appauvri le tissu des sous-traitants. Une situation qui a facilité l’automatisation galopante de l’horlogerie, qui rend aujourd’hui le niveau élevé des prix difficilement justifiable. Officiellement, Jean-Marc Wiederrecht est à la retraite. Fondateur avec sa femme Catherine de l’atelier Agenhor, il y a plus de vingt ans, il a réussi à transmettre sa passion à ses deux fils, Nicolas et Laurent, qui ont repris l’entreprise familiale. Pour autant, l’horloger n’a jamais eu une actualité aussi dense: tout frais lauréat du Prix G . . . Abonnez-vous à la Gold'Or pour continuer
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